Lorsque vous mettez sur pieds une entreprise, vous devrez être au fait des démarches légales quant à la répartition des congés. Il faudra notamment que vous vous renseigniez sur le nombre de jours à octroyer à chaque agent. Surtout pour les cas particuliers comme la préparation à l’accouchement ou les funérailles d’un proche.
Le congé maternité
Afin de vous informer efficacement sur le congé maternité, commencez par faire des recherches sur la toile. N’hésitez pas à visiter des sites spécialisés dans le domaine comme le Magazine des Entreprises. Vous pourrez aussi demander des renseignements chez un professionnel.
Sachez que la loi autorise un arrêt de travail pour les femmes enceintes. Ces dernières doivent bénéficier jusqu’à 8 semaines de congés. Cette période va inclure 2 semaines avant la naissance du bébé. Elle comporte également 6 semaines après l’accouchement. Un délai accordé pour que la mère puisse se rétablir et allaiter convenablement son enfant. À noter que la principale concernée peut bénéficier de 30 jours supplémentaires si le médecin l’exige.
Le congé en cas de décès d’un proche
Lors du décès d’un des membres de leur famille, les salariés sont en droit de réclamer un arrêt de travail. Toutefois, les jours de congé octroyés varieront selon le degré de parenté entre l’agent et l’individu mort. De plus, si ce dernier n’est pas un proche direct, la société peut légalement refuser la requête.
Si la personne décédée est le conjoint ou la conjointe du salarié, 3 jours de congé lui seront attribués. Cela s’applique également si le défunt est la sœur, le frère ou l’un des parents de l’employé. Toutefois, dans le cas où c’est l’enfant de l’agent qui a trépassé, ce dernier doit bénéficier d’un arrêt de travail de 5 jours.